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Créer un serveur HTTP
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Développer rapidement avec un framework web
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Se connecter à une base de données
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Utiliser un moteur de rendu
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Tester son application web
TBD.
Une personne qui vient de PHP + Apache -→ pourquoi lancer un serveur ? Parce que moi j’ai Apache qui fait déjà ça pour moi. J’ai mon fichier index.php et ensuite Symfony fait le reste.
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la page PHP est interpétée le temps de la requête, puis tout est mis à la poubelle (en termes de mémoire, donc les valeurs des variables)
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j’ai apache ou nginx devant, j’ai pas besoin d’un serveur web
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modèle Apache + script ou Apache + port
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pourquoi Apache lancerait pas un script Node comme il ferait avec php ?
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on cherche à s’éloigner du modèle où on recrée et détruit tout à chaque requête
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c’est rassurant parce que ça encapsule
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mais le coût il est en termes de perf (charger tous les modules, résoudre les chemins, connecter à la base de données, i/o disque/réseau), pour chaque requête, et donc en termes de perception de l’autre côté de la ligne : le spinner il tourne côté navigateur
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au bout de combien de temps un utilisateur quitte un site web s’il ne voit rien s’afficher ?
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stats sur la perception d’instantanéité (400ms de Halt & Catch Fire), observé en publicité, effondrement du taux de clic
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plus intéressant de servir "à chaud" (réduire les ressources et temps de calcul avant de pouvoir commencer à effectivement traiter la requête)
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quand une requête arrive ça veut dire quoi
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browser : GET http://monsite.com
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montrer une requête HTTP brute
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surprise : c’est que du texte
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c’est interprété de deux côtés : par le client (programme qui demande, adresse une requête — un navigateur web c’est un type de client) et le serveur (programme qui reçoit et renvoie des réponses)
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et une réponse ça ressemble à quoi ?
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dans la réponse y’a un statut (200, etc) (c’est pour ça 404)
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dans la réponse y’a un type de contenu (Content-Type)
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le corps de la réponse peut être du texte, qui suit un certain format (HTML, texte, XML, JSON, image/jpg, image/png)
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le client interprète en fonction de ses capacités et d’hypothèses pragmatiques
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un navigateur web : il interprète le HTML, l’affiche, et demande les ressources listées dans les différentes balises (img, video, audio)
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fait autant de requêtes que nécessaire pour les obtenir et les afficher
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attention s’il y en a trop, ça fait le même effet que retirer un courier à la Poste à la mauvaise heure
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le poids des ressources à transférer a un impact (plus c’est lourd, plus c’est gros, plus c’est long à charger — c’est amplifié par la qualité et le débit de la connexion Internet)
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[TIP] : les WebView ce sont des navigateurs web, genre pour iOS, Android etc.
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un client en ligne de commande (curl, wget) : il n’interpète pas, récupère juste
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c’est utilisé pour faire du scrapping
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c’est utilisé pour donner ça à d’autres programmes (enjoliver le résultat, extraire des informations)
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voir au chapitre 8 pour en savoir plus sur le fonctionnement d’applications en ligne de commande
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distingo serveur web/serveur http ? (pas sûr que ça vaille le coup/coût à ce stade là)
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c’est quoi cette histoire d’ouvrir un port pour lancer un serveur ?
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dans le cas de formulaire, le client envoie des informations en même temps que la requête
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comme on est dans un format texte, il faut l’interpréter le parser
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les trucs auxquels il faut faire gaffe
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qu’est-ce qui occupe de la mémoire ?
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ça a d’autant plus d’impact qu’on est sur des processus longs (aka programme qui tourne en continu — le serveur web)
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donc si on nettoie pas (ce qu’on ouvre, si on charge tout d’un coup), les ressources disponibles diminuent jusqu’au plantage
TBD.
L’organisme Open Web Application Security Project (OWASP) recueille et diffuse nombre de critères de sécurité à connaître et vérifier pour déjouer au mieux des attaques. Citons quelques uns de ces critères :
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dépendences logicielles ;
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injection de code arbitraire ;
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données d’authentification (vols, interceptions, brute force etc.) ;
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contrôles d’accès (impersonnification etc.) ;
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optimisme sécuritaire et absences de vérifications ;
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exposition de données critiques ;
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attaques CSRF (un script tiers actionne des commandes à notre insu) ;
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uploads de fichiers (poids limite, formats, chevaux de Troie etc.)
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redirections non-contrôlées.
Tip
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Ressources owasp.org
Le site d’OWASP offre guides, référentiels, fiches récapitulatives, applications types, outils et tutoriaux pour sensibiliser à la sécurité applicative. |
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en mémoire
Le stockage est dit éphémère car l’information est stockée dans la mémoire vive de la machine et disparait dès que l’application est interrompue ; -
sous forme de fichiers
Le stockage est physiquement lié à la machine hébergeant l’application. Ce support est davantage adapté à un cache n’ayant pas besoin d’être actualisé après l’initialisation de l’application ; -
via une API
Le stockage est nécessairement dissocié à la machine hébergeant l’application. L’accès à la lecture et à l’écriture de l’information se fait au travers d’une interface de données accessible via HTTPS.
Nous pourrions tout à fait envisager d’utiliser les APIs de GitHub, Kinto, Google Drive ou KeyBase.io pour persister et collecter des données brutes ou transformées ; -
en base de données
Le stockage n’est pas nécessairement lié à la machine hébergeant l’application. L’information persiste si l’application est interrompue.
Doit-on nécessairement utiliser MongoDB, une base de données orientée documents ou JSON avec une application Node ? La réponse est catégorique : c’est non.
Tout type de base de données s’interface avec Node, qu’elle soit relationnelle (Postgres, MariaDB, MySQL), clé/valeur (Redis), en colonnes (Cassandra) ou orientée documents (MongoDB, ElasticSearch).